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Verset Troisième : Saint-Niwarpop, hymne à l’alcool
Saint Boudoir avait donc maintenant deux (con)disciples à sa botte, et partit à la recherche des 4
suivants. Pour ce faire, il s’engagea dans des contrées hostiles pleines de truc hideux qui hurlent à la
pleine lune pour vous foutre les pétoches.
Saint-Gland, toujours rougi par ses activités manuelles, s’agenouilla et le mit en garde :
- Ô, toi qui m’a sauvé d’une fin certaine, permets-moi d’avoir l’honneur de te prévenir du danger
qui sévit en ces lieux, en faisant de moi ton humble et dévoué serviteur ! Je te consacrerais ma lampe,
mon âme, ma vie, et te mènerais à la nouvelle aphélie ! Mais ces contrées obscures sont emplies de
dangers du même nom, prends garde, grand seigneur, à n’être vilipandé par quelque malhonnête!
- …
- Je veux dire, fais gaffe, ça craint à mort par là. Y’a des Bichons suceurs de tripes et d’autres
trucs encore plus moins cool.
- Ah. Euh, bah, j’ m’ en fous, chuis Saint Boudoir, je raisonnerais ces bêtes à poils drus.
« ITS KIZ MAÏ LAÏFE, WOH MAÏ LAÏFE, LA LA LA LA LAAAAAAAAAAAA »