Saint Boudoir

        

         

                                

            le bordel dans la mer en prenant possession des esprits de Bretons inventant ainsi des armes terribles

                     telles que la Cornemuse ou le Biniou. Quand aux Kiwis, ils décidèrent de prendre possession du monde

                     et régnèrent sur les hommes par la tromperie et le subversantillation. Saint Boudoir eût alors du mal

                     à trouver ça abrasif, mais pour la forme, il bava un peu.

                           - A la deuxième lune de la première seconde d’unité hexagonale, Saint Boudoir vit que sa montre

                     était dans un bad trip. Il décida alors de la frapper à mort et de recréer du temps un peu plus

                     simple. Le temps fût alors vraiment inventé. Saint Boudoir laissa passer les années, beaucoup d’années

                     (environ autant que de poils) et décida de dormir un peu. Lorsqu’il se réveilla, les étrusques vivaient

                     toujours dans des cavernes. Les kiwis dominaient les hommes. Les poireaux s’étaient grave calmés,

                     mais bon, c’était quand même des Poltez. Les huîtres avaient tellement bavé dans les Océans que

                     maintenant ils étaient tout salés et que plus personne voulait en boire. Quand aux hommes, sous la

                     domination des kiwis, ils avaient fondé la Civilisation. Saint Boudoir décida de répandre la bonne

                     parole chez les hommes qui finalement pouvait peut-être être réparés.

                           Il descendit sur Terre (parce qu’en fait il était en lévitation sur un Goéland avant) et chercha

                     des disciples pour parcourir le monde et prêché la Boodwar Voice.

                           Mais avant de commencer sa grande quête, Saint Boudoir trouva que toute son œuvre finale

                     était quand même assez abrasive, et il bava un long moment.

 

 

.                                                                                                                 Traduit du néruvien par Kenshin